Cippe en calcaire dont le dé central inscrit est encadré en haut et en bas par de lourdes moulures. Il s'agit de l'offrande en ex-voto de quatre objets faite au dieu guérisseur Esculape par deux personnages qui ont été délivrés de leur maladie par l'intercession du dieu à la suite d'un voeu.
Autel en marbre blanc. Les faces latérales sont ornées respectivement d'une tête de taureau couverte de bandelettes et d'une tête de bélier surmontée d'une pomme de pin. L'autel commémore le taurobole du couple dédicant.
Autel mutilé surtout dans sa partie droite. L'inscription, selon le dessin de Maillet, se développerait sur la face latérale droite, sans moulure. Remployé dans une construction moderne.
Base moulurée en calcaire. Le numen d'un Auguste est la puissance divine qui se manifeste dans la personne de l'empereur régnant et donne efficacité à ses actes. L'expression au pluriel Numinibus Augustorum se réfère à la divinité de plusieurs empereurs gouvernant en même temps.
Base de marbre ou autel sans couronnement. Monument taurobolique dressé après l'accomplissement du vœu par celui qui en a bénéficié. Le rite accompagné du vœu a été célébré par Marcus Julius Hyacinthus, sévir augustal de la colonie.
Autel en calcaire de Montpezat. Ex-voto adressé, probablement après guérison du dédicant, aux divinités locales les Reiunii ou Reiuniae. Divinités d'une source curative ?
Pierre oblongue extraite d'un mur de maison. La Terre Mère doit être ici plus ou moins reliée à la Magna Mater puisque un probable sanctuaire de Cybèle était également au lieu de découverte de l'autel.
Autel de calcaire avec base et couronnement. Il est dédié aux Mères Salvatrices, déesses tutélaires. Le surnom de Conseruatrices souligne l'aspect protecteur de ces divinités.
Fragment d'une inscription sur une plaque de marbre blanc. Inscription énumérant les libéralités du notable evergète à l'égard de la plèbe locale et du collège des utricularii.
Autel dont le couronnement est orné d'une guirlande et la face supérieure encadrée de deux boudins en forme de faisceaux. Une face latérale est décorée d'une patère, l'autre d'une aiguière (urceus).
Cippe en pierre des carrières de Montpezat très grossièrement taillée. La partie inférieure de la face antérieure, qui était enterrée dans le sol, n'a même pas été équarrie.