Autel en calcaire de Montpezat. Ex-voto adressé, probablement après guérison du dédicant, aux divinités locales les Reiunii ou Reiuniae. Divinités d'une source curative ?
Base moulurée en calcaire. Le numen d'un Auguste est la puissance divine qui se manifeste dans la personne de l'empereur régnant et donne efficacité à ses actes. L'expression au pluriel Numinibus Augustorum se réfère à la divinité de plusieurs…
Pierre oblongue extraite d'un mur de maison. La Terre Mère doit être ici plus ou moins reliée à la Magna Mater puisque un probable sanctuaire de Cybèle était également au lieu de découverte de l'autel.
Autel de calcaire avec base et couronnement. Il est dédié aux Mères Salvatrices, déesses tutélaires. Le surnom de Conseruatrices souligne l'aspect protecteur de ces divinités.
Base de marbre ou autel sans couronnement. Monument taurobolique dressé après l'accomplissement du vœu par celui qui en a bénéficié. Le rite accompagné du vœu a été célébré par Marcus Julius Hyacinthus, sévir augustal de la colonie.
Autel en marbre blanc. Les faces latérales sont ornées respectivement d'une tête de taureau couverte de bandelettes et d'une tête de bélier surmontée d'une pomme de pin. L'autel commémore le taurobole du couple dédicant.
Autel mutilé surtout dans sa partie droite. L'inscription, selon le dessin de Maillet, se développerait sur la face latérale droite, sans moulure. Remployé dans une construction moderne.
Cippe en calcaire dont le dé central inscrit est encadré en haut et en bas par de lourdes moulures. Il s'agit de l'offrande en ex-voto de quatre objets faite au dieu guérisseur Esculape par deux personnages qui ont été délivrés de leur maladie par…
Fragment d'une plaque de bronze mutilée en bas. Document conforme à la diplomatique des décrets municipaux retrouvés en Italie et dans l'Occident romain. Sont toujours marqués successivement : la date, le nom de la cité dans la curie de laquelle les…
Colonne haute d'environ 2 m. Milliaire élévé par Constantin, portant une seconde inscription gravée sous le règne conjoint de Valentinien I, Valens et Gratien.
Colonne en calcaire réutilisée : elle a été sciée en deux dans le sens de la hauteur. Les côtés ont été retaillés ; la face plate a été creusée pour servir de canal.
Borne cylindrique brisée en deux parties. Un troisième fragment qui constituait peut-être le bas de la colonne, se trouve à côté des deux autres, portant sur sa face inférieure le chiffre XVII. L'arrière de la colonne a été retaillé.
Plaque de calcaire. Traces de queues d'aronde à gauche et à droite du champ épigraphique. Une cavité a été creusée au bas de la pierre lors du remploi comme pierre d'évier.