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Bloc de grès scié à droite et au bas en vue de son remploi.

Des doutes pèsent sur la réalité de l'existence de cette inscription.

Une ascia est figurée entre les deux lettres.

Stèle de calcaire au sommet arrondi. La partie inférieure destinée à être enterrée n'a pas été dégrossie. La surface étant très usée, la lecture est incertaine en plusieurs endroits.

Le texte était gravé dans un encadrement à queues d'aronde.

Stèle brisée au sommet et au bas.

Fragment de bloc de grès brisé au bas et sur les deux côtés.

Associés dans une affaire commerciale ?

Cippe en grès, de forme rectangulaire, au sommet en demi-cercle. Les trois premières lignes de l'inscription sont séparées des trois suivantes par une bande portant deux mains qui s'etreignent, signe de fides.

Dalle de grès brisée en trois morceaux. Une queue d'aronde est conservée à gauche.

Stèle en grès. L'inscription est entourée d'un cadre mouluré avec queues d'aronde. Au-dessous du texte, plusieurs objets sont gravés difficilement reconnaissables : arc et carquois ? foret à archer ? scie ? outil à long manche ?

Fragment d'inscription sur une dalle de marbre brisée à gauche. Le texte était encadré par une triple moulure formant un cartouche muni d'ailerons (queues d'aronde).

Petite plaque de marbre blanc brisée dans sa partie inférieure droite.

Stèle de grès brisée au sommet, mais le texte est complet en haut. La partie inférieure mal dégrossie, était destinée à être enterrée.

Plaque de marbre brisée à droite.

L'épitaphe mentionne que le collège de Pietas (collège funéraire) a pris soin d'organiser les funérailles de la défunte et en a assumé les frais. Au centre du cadre était sculpté un édicule composé de deux colonnes, surmontées d'un chapiteau et…

Stèle rectangulaire

Stèle brisée au sommet et au bas. traces de frottements à la troisième ligne.

Partie supérieure d'une stèle à sommet arrondi

Bloc de grès redécoupé et retaillé à gauche et au sommet et remployé dans un arc de décharge.

Bloc de grès qui paraît avoir été scié de tous côtés en vue de son remploi.

Cippe de grès au sommet rond. Le texte est délimité par un rectangle en relief encadré de queues d'aronde.

Deux mains sont sculptées en dessous de l'inscription.

Bloc quadrangulaire de grès, brisé à droite.

Plaque de marbre brisée partout sauf au sommet.

Partie inférieure gauche d'une plaque de marbre. Texte trop mutilé pour proposer une traduction.

Inscription funéraire latino-grecque où le texte grec est un double distique élégiaque.

Plaque de marbre.

Plaque de grès local. Le champ épigraphique est limité par un cadre avec queues d'aronde de part et d'autre. Epitaphe d'un pétrucore.

Bloc quandrangulaire de grès brisé à gauche. Le texte est entouré d'un cadre mouluré.

Fragment de stèle en grès, dont est conservée la partie inférieure gauche.

Partie inférieure d'un bloc de marbre remployée pour servir de seuil de porte dans une construction moderne.

Stèle de grès brisée en deux morceaux. Au-dessous de l'inscription dans un cadre mouluré, deux mains entrelacées, en relief ; derrière celle de gauche, un objet indéterminé (bourse ? flacon ?).

Bloc de pierre calcaire. L'inscription est disposée dans un champ épigraphique entouré d'une moulure ancadrée de queues d'aronde. La pierre a été sciée en deux, séparant l'inscription en deux fragments.

Cippe ayant la forme d'un autel aplati, avec un petit socle et une corniche qui fait saillie des deux côtés pour imiter grossièrement les cornes de l'autel.

Fragment de bloc de grès retaillé en vue d'un remploi dans une construction. A droite, reste d'un cadre mouluré.